Le Conseil d’Etat entretient la désobéissance civile en refusant de combattre la mendicité

Malgré son interdiction, force est de constater que la mendicité est toujours bien présente dans la capitale vaudoise. L’UDC Vaud ne peut plus tolérer que les lois votées par notre parlement ne soient pas appliquées par laxisme politique. Ce faisant, le Conseil d’Etat bafoue la volonté exprimée par les députées et députés de notre canton et se fait complice des réseaux claniques qui organisent la mendicité dans notre canton.

Depuis plus de 10 ans, l’UDC se préoccupe des problèmes causés par les réseaux de mendicité organisés, mis sur pied par des ressortissants d’Europe de l’Est. Le problème était particulièrement préoccupant à Lausanne, en raison du laxisme politique tolérant à l’égard des réseaux de mendiants. C’est pourquoi, il devient maintenant urgent d’interdire et d’expulser du territoire les réseaux mafieux à l’origine de ces violations, ceci afin de renforcer la sécurité des Vaudoises et des Vaudois.

Combattre enfin le laxisme politique et la désobéissance civile

Dans son article du jour, le journal « 20 minutes », fait état du « groupe d’une douzaine de personnes étrangères s’adonnant à la mendicité en ville depuis quelques semaines déjà et qui sont dénoncées une dizaine de fois chacune, pour camping illégal, mendicité et violation de la loi fédérale sur les étrangers et ne paient pas leurs amendes, à supposer qu’ils les reçoivent, car ils ne résident pas officiellement en Suisse ». Cette situation n’est pas admissible et est principalement due au manque de volonté politique de mettre en application l’initiative populaire lancée par l’UDC Vaud en 2013. Les Vaudoises et les Vaudois ne doivent en aucun cas payer le laxisme et la complaisance du Conseil d’Etat envers les réseaux criminels.

Cette clémence vis-à-vis des réseaux mafieux rappelle l’attitude du Conseil d’Etat qui tolère la désobéissance civile dans nos rues, tolère que les élèves puissent sécher les cours pour des motifs politiques, tolère que notre police soit mise au défi et maintenant tolère les violations de nos propres lois. Quelle sera la prochaine étape ? Le Grand Conseil se doit, dès à présent, de mettre nos autorités devant leurs responsabilités afin que cesse enfin l’impunité dans notre canton.

Appliquer la volonté de nos institutions démocratiques

L’UDC n’accepte pas que la volonté exprimée par le Grand Conseil soit bafouée et juge inadmissible l’attitude de la Conseillère d’Etat Béatrice Métraux, qui se permet de juger la pertinence des lois votées par le Grand Conseil dans le seul but de justifier l’inaction de son département. Notre parti est déterminé à ne pas tolérer ce déni de démocratie et exige une application stricte et rapide de l’interdiction de la mendicité afin de préserver l’ordre, la sécurité et la tranquillité publique.

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