Stop aux expériences socialistes dans le Canton de Vaud

Réunis jeudi soir à Montricher, les quelque 80 déléguées et délégués de l’UDC Vaud ont soutenu le lancement du référendum contre la réforme de la Loi sur le CO2. Soucieux de préserver le pouvoir d’achat de notre population face à toujours plus de taxes, les déléguées et délégués s’opposent à une augmentation de 20 centimes du prix au litre d’essence et dénoncent les imposteurs du climat qui instrumentalisent la protection de l’environnement pour imposer de nouvelles taxes et de nouvelles contraintes à la liberté dans notre pays.

Estimé entre 30 et 40 milliards, le coût de la nouvelle loi sur le CO2 frappera une fois de plus les classes moyennes et populaires qui travaillent durement. Après le brillant exposé de la situation de Patrick Eperon, coordinateur romand du comité économique référendaire, les déléguées et délégués ont soutenu, à l’unanimité moins une abstention, le référendum contre cette nouvelle augmentation de taxe. L’UDC estime que le meilleur moyen de protéger notre environnement est de reprendre le contrôle de notre immigration.

Les Vaudoises et les Vaudois sont devenus les cobayes du laboratoire socialiste

En ouverture de Congrès, notre président cantonal, Kevin Grangier, a affirmé qu’il était plus combattif que jamais car l’UDC devait lutter contre les expériences socialistes qui font des Vaudoises et des Vaudois les cobayes du laboratoire rouge-vert qu’est devenu le canton de Vaud. Il a souligné que les autorités exécutives de gauche étaient celles qui toléraient la désobéissance civile dans nos rues, éliminaient les places de parking en ville et faisaient de notre canton un enfer fiscal en comparaison intercantonale. Face à ces injustices, les Vaudoises et les Vaudois pourront compter sur l’UDC.

L’UDC se place du côté des communes dans le bras de fer contre le Conseil d’Etat

Inquiets de l’escalade des dépenses sociales dans notre canton, les délégués de l’UDC Vaud ont témoigné leur soutien à l’initiative « SOS Communes » en approuvant massivement les objectifs visés par cette dernière. Ce faisant, ils ont suivi la recommandation du député et syndic Philippe Jobin. Ainsi, l’UDC rappelle que le principe « qui paie commande » lui est cher. En effet, le laboratoire socialiste au pouvoir dans notre canton a réussi à mettre en place un obscur montage financier qui permet – in fine – aux exécutifs de gauche d’engager de généreuses politiques sociales tout en allant puiser l’argent nécessaire dans la poche des autres. Financer sa prétendue générosité par autrui, voilà une nouvelle imposture socialiste que l’UDC condamne.

Dangereuses et inefficaces : NON aux deux initiatives du 29 novembre prochain

Après un premier débat, les déléguées et délégués ont refusé l’initiative « Entreprises responsables » par 68 voix contre 2 et 4 abstentions. Ils ont suivi les recommandations du conseiller national Jacques Nicolet, qui a démonté les dangers que représente cette initiative. En appliquant une telle solution, la Suisse affaiblirait sa place économique, a notamment relevé Jacques Nicolet.

Par la suite, les membres du Congrès ont balayé, à l’unanimité moins 1 abstention, l’initiative « Pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre ». Ils ont été convaincus par le conseiller national Jean-Pierre Grin qui a démontré l’inutilité de cette initiative. « La Suisse applique déjà une interdiction vers les pays en guerre. Cette initiative ne servirait qu’à appauvrir notre économie » a notamment rappelé Jean-Pierre Grin.

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